Aujourd’hui, l’ouverture des Jeux Olympiques d’Hiver aura lieu à Beijing. Les plus grands athlètes du monde seront réunis pour se disputer la victoire. OMEGA, chronométreur officiel des Jeux depuis 1932, chronométra chaque seconde de cet événement sportif.
Les jeux Olympiques modernes réunissent tous les 4 ans les meilleurs athlètes du monde autour d’épreuves intenses depuis 1896. Récompensée par l’observatoire de Genève en 1931 pour sa précision extrême, OMEGA devient le premier horloger de l’histoire à chronométrer les Jeux Olympiques. Si aujourd’hui OMEGA fournit plus de 400 tonnes d’équipements à la pointe de la technologie ; les Jeux Olympiques de Los Angeles en 1932 ont débuté plus modestement, constituant déjà une petite révolution : 30 chronographes calibrés sont apportés par l’Horloger. En effet, jusque là, les chronométreurs utilisaient leur propre montre. Par la suite, les Jeux se déroulant à Berlin, accueilleront 185 chronographes. La présence d’OMEGA instaure une nouvelle dimension aux Jeux : chaque millième de seconde compte.
Quand chaque fraction de seconde compte : l’évolution de la mesure du temps
L’arrivée du chronométrage dans les confrontations sportives bouleverse les résultats : alors que les décisions des jurés étaient parfois controversées, OMEGA apporte une précision nouvelle. Dès les Jeux de Los Angeles, la présence de l’horloger permet d’éclairer des situations de désaccord. Les règles du 100m d’athlétisme changent l’année suivante : le vainqueur est le premier à franchir la ligne d’arrivée avec n’importe quelle partie de son torse.
OMEGA qui fournit durant la seconde guerre mondiale plus de la moitié des instruments de mesure aux forces alliées, développe grandement sa technologie. En 1948, lorsque les Jeux Olympiques reprennent à Londres après 12 ans d’absence, la précision de chronométrage est sans précédent. Il s’agit d’un système photoélectrique reliant le départ à la ligne d’arrivée, qui est photographiée lorsqu’un athlète la franchit.
Dès 1952 aux Jeux d’Elsinki, OMEGA dévoile le Time Recorder permettant d’imprimer les résultats sur papier. Pour cette innovation, la manufacture reçoit la Croix du Mérite Olympique.
Un incident en 1960 à Rome pousse OMEGA à se réinventer : en natation, les juges décernent la médaille d’or à Thomas Devitt bien que Lance Larson ai accompli le meilleur temps. Comment remplacer les chronométreurs autour du bassin et dissiper cette confusion qui entoure parfois la victoire ? En 1968 à Mexico, OMEGA résout l’équation : une plaque de touche permet au nageur de stopper son chronomètre lui même à son arrivée.
Pas de Jeux Olympiques sans montres spéciales
Comme à chaque Jeux Olympiques, OMEGA nous dévoile ses créations horlogères, conçues spécialement pour cet événement sportif. A l’occasion des Jeux de Beijing 2022, deux garde-temps d’exception ont été façonnés par la marque, tous deux présentés dans un écrin spécial rendant hommage à cette prestigieuse compétition.
Seamaster Diver 300M Co-Axial Master Chronometer 42 mm | Seamaster Aqua Terra 150M Co-Axial Master Chronometer 41 mm
« Beijing 2022 »
La Seamaster Diver 300 se pare d’acier inoxydable et d’une lunette en titane grade 5, ornée d’une échelle de plongée en relief. Vous remarquerez sur son cadran soleillé en céramique bleue, arborant des vagues, un détail rendant hommage à Beijing 2022 : cinq index, à 2h, 4h, 8h, 10h et 12h aux couleurs représentatives de celles des célèbres anneaux olympiques.
La Seamaster Aqua Terra, se pare également d’acier inoxydable. Son cadran en céramique blanche affiche une finition spéciale motif givré, ce qui fait ressortir le bleu des aiguilles et des index polis. Sur le fond du boîtier, tout comme la Seamaster Diver 300, on retrouve l’emblème de Beijing 2022.
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