Dans un peu moins de 11 semaines, le 27 juillet 2012, le coup d’envoi des Jeux Olympiques de Londres 2012 sera donné. Jusqu’au 12 août, les plus grands sportifs de toutes les disciplines d’été écumeront les stades, les bassins, les plans d’eau ; le suspens et les exploits à la clé. Mais savez pour qui d’autre ces Jeux Olympiques seront un beau défi ? Pour le chronométreur officiel des épreuves, la marque horlogère Omega.
Deux destins liés
Créée en 1848, la manufacture Omega a vu par ses innovations son destin lié à la conquête de l’espace avec notamment l’élaboration d’un modèle phare : la Speedmaster. Mais un second courant avait déjà fait son apparition dans les mœurs d’Omega : le chronométrage sportif. C’est en 1932 qu’Omega assura pour la première le chronométrage des Jeux Olympiques, qui se déroulaient à Los Angeles. En 2012, Omega fêtera ses 25ème Jeux Olympiques en tant que chronométreur officiel.
A la recherche de la précision et de la performance
Etre le chronométreur officiel de J.O. c’est tout de même une sacré responsabilité, beaucoup d’action, et pas seulement un titre honorifique comme certains pourraient le penser. Omega prend très à cœur la précision et la qualité de ses chronométrages mais voit aussi à chaque nouveaux Jeux Olympiques l’occasion de déployer de nouvelles innovations qui ont demandé tant de recherche et de labeur, comme l’explique Stephen Urqhart, Président d’Omega : « La dernière fois que les Jeux Olympiques se sont déroulés à Londres, en 1948, Omega était déjà chargé de chronométrer chaque épreuve dans chaque sport. Cette édition des JO a marqué un tournant en matière de technologie, avec l’apparition de la cellule photoélectrique, la mise en place de notre système de chronométrage entièrement automatisé et l’utilisation de la caméra photo-finish pour la première fois aux Jeux Olympiques. Nous étions fiers de travailler au service du Comité International Olympique et des plus grands athlètes mondiaux, et c’est toujours le cas aujourd’hui. »
Un partenariat de confiance et d’exception
Sebastian Coe, président du LOCOG, le comité d’organisation des Jeux olympiques de Londres et des Jeux Paralympiques, et ancien athlète, voit lui aussi ce partenariat d’un très bon œil : battre des records, capter et capturer à jamais tous les moments les plus marquants de l’histoire du sport ; telle est sa volonté.
Ce partenariat est sommes toutes très équilibré car Omega déploie les grands moyens pour être digne de son statut. Pour se donner un ordre d’idée, Omega a mis à disposition aux Jeux de Beijing plus de 400 tonnes de matériel, 450 spécialistes mais aussi un millier de bénévoles locaux, formés sur place. En contrepartie, la marque horlogère bénéficie de la popularité sans pareil de l’événement sportif ; bien que les retours ne soient pas aussi immédiats que la sortie d’un James Bond et pourtant irréfutables.
On ne saurait décrire l’impatience que nous avons tous de vivre ces Jeux Olympiques, qui paraissent plus accessibles ne serait-ce que par leur situation géographique… Pour ne rien louper de cet enthousiasme, Omega a d’ailleurs investi 750 m2 de boutique, faisant de cette place sa plus grande boutique européenne. Un investissement à l’échelle de ces Jeux Olympiques qui en plus de rassembler 10 500 athlètes venant de 200 pays, risque fort d’avoisiner les 28 milliards d’euros (transports 7.8 milliards d’euros + organisation 2.4 milliards + stade olympique 1.2 milliard + village olympique 675 millions + sécurité 670 millions + cérémonies 13 milliards et si l’on compte les dépenses associées indirectes telle qu’une présence policière indirecte nous arrivons aux 28 milliards. Source : le Figaro )
Heureusement, pour nous faire patienter, nous pouvons soit rester scotchés au compte à rebours soit nous attarder sur une belle montre créée spécialement pour cet événement : une Omega Seamaster Aquaterra ; mais ça, c’est dans le prochain article !
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